Température douce 25°, il a plu cette nuit dans l’outback !!! le
mauvais temps nous poursuit.
Plus que 80km
pour arriver à Uluru et le célèbre rocher d’Ayers Rock. LE rêve approche. Nous
croisons quelques dromadaires sauvages, des oiseaux aux couleurs étonnantes,
des roses, des blancs, des jaunes, un émeu au camping mais toujours pas de Roo
(kangourous en Australie) même lors de notre trajet nocturne hier.
Arrivés à Yulara
nous nous dirigeons vers son grand complexe touristiques, composés de nombreux
hôtels, lodges et campings tous avec piscine et seuls endroits où nous avons l’autorisation
de dormir… Comme c’est bien fait. Je suis toujours étonnée de l’aménagement des
sites touristiques en Australie. Un grand nombre sont accessibles aux
handicapés, balisés et avec rampes d’accès. Ceci afin de faciliter l’accès à
tous mais aussi protéger la flore des environs en obligeant les touristes à ne
pas prendre de chemins de traversent. Nous payons notre nuit 50$ pour la piscine et
les douches gratuites, il nous reste encore à débourser 25$ par adulte pour
accéder au parc national pour 3 jours. Les enfants de moins de 16 ans étant gratuits.
Nous repérons
l’emplacement et repartant de suite au pied d’Ayers Rock. Endroit magique pour
un repas et courte balade jusqu'à Mala Puta. Nous partageons un peu de la
culture aborigène notamment grâce à des explications en français les expliquant
au centre culturel.
Ayers Rock est un
haut lieu sacré et où le respect est de mise. Un peu comme la visite d’une
église ou d’un temple nous devons respecter les Tjukurta (ensemble des droits
et coutumes aborigènes) bien expliqués grâce à de nombreux panneaux. Ainsi
certains endroits ne peuvent être photographiés (il faudra vous rendre sur place pour les voir : ça
ajoute au charme et à l’attrait touristique du lieu) et le peuple des Anangus
gardiens et propriétaires du lieu nous demandent de ne pas gravir le lieu.
Beaucoup de personnes l’ayant fait ce sont blessés ou son mort et ils nous
expliquent aque cela ne fera que faire pleurer notre famille et les rendre
triste également. Les hommes vrais (comme ils s’appellent) n’aiment pas le mal
pour le mal et ne supportent pas qu’un être souffre que ce soit celui qui se
fait mal ou celui à qui l’on cause de la tristesse. Le livre de Magali sur la
culture aborigène est de très bon conseil pour appréhender leur histoire et leurs
coutumes.
Après une courte
balade de 2km nous repartons au camping profiter de la piscine.
Nous aurions voulu retourner voir le coucher du soleil mais le ciel
est couvert est le rocher ne change que très peu de couleur. Une vue est
accessible d’un notre camping. Nous y rencontrons des français expatriés en
nouvelle Calédonie qui visitent comme nous le pays pour leurs vacances d’été.
Ce sont dses profs. Ils ont 3 enfants dont les 2 plus jeunes ont l’âge des enfants.
Romane et Eliott sont heureux de jouer avec des enfants avec qui ils peuvent
parler.
Tout va bien ici, hiver pépére, pleins de bisous a vous 4 svp donne le bonjour pour moi aux hommes vrais!! mag
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