dimanche 15 janvier 2012

Uluru nous voilà

Samedi 14 janvier

Température douce 25°, il a plu cette nuit dans l’outback !!! le mauvais temps nous poursuit.

Plus que 80km pour arriver à Uluru et le célèbre rocher d’Ayers Rock. LE rêve approche. Nous croisons quelques dromadaires sauvages, des oiseaux aux couleurs étonnantes, des roses, des blancs, des jaunes, un émeu au camping mais toujours pas de Roo (kangourous en Australie) même lors de notre trajet nocturne hier.


Arrivés à Yulara nous nous dirigeons vers son grand complexe touristiques, composés de nombreux hôtels, lodges et campings tous avec piscine et seuls endroits où nous avons l’autorisation de dormir… Comme c’est bien fait. Je suis toujours étonnée de l’aménagement des sites touristiques en Australie. Un grand nombre sont accessibles aux handicapés, balisés et avec rampes d’accès. Ceci afin de faciliter l’accès à tous mais aussi protéger la flore des environs en obligeant les touristes à ne pas prendre de chemins de traversent.  Nous payons notre nuit 50$ pour la piscine et les douches gratuites, il nous reste encore à débourser 25$ par adulte pour accéder au parc national pour 3 jours. Les enfants de moins de 16 ans étant gratuits.






Nous repérons l’emplacement et repartant de suite au pied d’Ayers Rock. Endroit magique pour un repas et courte balade jusqu'à Mala Puta. Nous partageons un peu de la culture aborigène notamment grâce à des explications en français les expliquant au centre culturel.

Ayers Rock est un haut lieu sacré et où le respect est de mise. Un peu comme la visite d’une église ou d’un temple nous devons respecter les Tjukurta (ensemble des droits et coutumes aborigènes) bien expliqués grâce à de nombreux panneaux. Ainsi certains endroits ne peuvent être photographiés (il faudra vous  rendre sur place pour les voir : ça ajoute au charme et à l’attrait touristique du lieu) et le peuple des Anangus gardiens et propriétaires du lieu nous demandent de ne pas gravir le lieu. Beaucoup de personnes l’ayant fait ce sont blessés ou son mort et ils nous expliquent aque cela ne fera que faire pleurer notre famille et les rendre triste également. Les hommes vrais (comme ils s’appellent) n’aiment pas le mal pour le mal et ne supportent pas qu’un être souffre que ce soit celui qui se fait mal ou celui à qui l’on cause de la tristesse. Le livre de Magali sur la culture aborigène est de très bon conseil pour appréhender leur histoire et leurs coutumes.

Après une courte balade de 2km nous repartons au camping profiter de la piscine.

Nous aurions voulu retourner voir le coucher du soleil mais le ciel est couvert est le rocher ne change que très peu de couleur. Une vue est accessible d’un notre camping. Nous y rencontrons des français expatriés en nouvelle Calédonie qui visitent comme nous le pays pour leurs vacances d’été. Ce sont dses profs. Ils ont 3 enfants dont les 2 plus jeunes ont l’âge des enfants. Romane et Eliott sont heureux de jouer avec des enfants avec qui ils peuvent parler.

Demain nous n’irons pas non plus voir le lever.




1 commentaire:

  1. Tout va bien ici, hiver pépére, pleins de bisous a vous 4 svp donne le bonjour pour moi aux hommes vrais!! mag

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